Eté 2020 :
quelle mouche m’a piqué ? une envie irrésistible de me frotter à la montagne ? oui et un challenge certainement ! et me voilà parti dans les Pyrénées et plus précisément à LARUNS ; cette ville a la particularité d’avoir le col de Marie-Blanque et le col de l’aubisque à proximité ; je me suis installé dans un charmant hôtel au pied de Marie-Blanque ; l’hôtel s’appelle le logis hôtel l’Ayguelade à BIELLE . Arrivé le matin en provenance d’Arcachon , je me suis lancé immédiatement sur les pentes de Marie-Blanque ; autant dire que la difficulté fut intense !!! quand je suis arrivé en haut , j’étais presque surpris d’être arrivé ( après avoir mis pied à terre plus d’une fois ). Puis je suis redescendu de l’autre côté par Escot et j’ai fait une boucle en revenant par Arudy et Louvie-Juzon. La partie du col que j’ai descendue m’a semblé très difficile ! Enfin je me suis contenté de la partie montant par Bilhères . Retour à l’hôtel 3h après ( en réalité plus car mon GPS ne compte pas les arrêts mais seulement les temps de route ). Je n’ai pas traîné au dîner le soir pour aller dormir et récupérer. Le lendemain matin , réveil de bonne heure et départ vers le col de l’aubisque.
Col de Marie-Blanque 1035m

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début du col -
pourcentages environ 10% et plus -
le plateau du Benou un endroit magnifique -
le plateau du Benou -
le plateau du Benou -
le plateau du Benou -
arrivée au col -
une balade en haut du col -
le col -
début de la 2ème partie du col à partir du plateau du Benou -
vers le haut du col
Col de l’Aubisque 1709m
le lendemain de ma montée à Marie-Blanque, me voilà parti escalader le col de l’aubisque. La première partie jusqu’aux Eaux Bonnes est relativement aisée ; dès que l’on quitte les Eaux Bonnes pour aller à Gourette , les choses se gâtent sérieusement. C’est la première fois que je montais un col aussi long et aussi dur . Je n’ai pas été déçu par la difficulté ; je n’ai jamais autant souffert sur un vélo. Mais après Gourette , je suis arrivé tant bien que mal en haut et j’ai pu savouré le plaisir de la haute montagne ; il n’y a pas plus jolie que la montagne au-dessus des nuages. C’est une récompense bien méritée pour le cycliste !!!!
je suis redescendu par le même chemin et je suis resté scotché sur mes freins ( à disque ) toute la descente tellement la pente est prononcée. Quant je suis arrivé à l’hôtel fourbu mais heureux, une bonne douche et j’ai repris la voiture direction Arcachon ; arrivé à Pau , j’ai été pris de crampes au point d’être obligé d’arrêter la voiture .
Bref une merveilleuse journée que je ne suis pas prêt d’oublier.

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un environnement de haute montagne -
passage des paravalanches -
un peu de brouillard dans la vallée -
arrivée à Gourette -
une petite prière pour arriver en haut -
la route se cabre !!! -
et se cabre encore -
vue sur Gourette -
id -
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lieu mythique du tour de France -
mon vélo au repos en haut de l’au bisque -
les chevaux en arrière-plan -
symbole du vélo et du tour de France -
route du retour en descente -
vue de la montagne -
vue de la montagne
bravo DIDIER POUR CES 2 ASCENCIONS délicates et dures avec en plus la chaleur grosse performance bisous
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